Hotu

Un bien joli poisson
Nom scientifique : chondrostama nasus
Famille : Cyprinidés
Autres noms : Chondrostome, Nase commun, Nez, Mulet, Aloge – Anglais : Nase Carp
Poids maximum : 2,5 kg ( moy. 1 à 2 kg)
Taille maximale : 50 cm (moy. 25 à 40 cm)
Durée de vie : 13 à 15 ans (21 Centre Europe)
Période de frai : Mars à Mai
Ponte : 50 000 à 100 000 ovocytes
Le Hotu a une petite tête avec un museau situé en avant d’une bouche transversale. La lèvre inférieure est dure. Sa nageoire dorsale se situe à l’aplomb des nageoires pelviennes. La nageoire caudale est échancrée. Le tube digestif du Hotu est particulièrement long puisqu’il représente jusqu’à 4 fois la longueur du corps. Son dos est gris-bleu avec des flanc argentés et un ventre blanc légèrement jaunâtre. Ses nageoires sont de teinte orangées, sauf la dorsale qui reste plutôt grise.
Le Hotu est une espèce typique d’Europe centrale. Absent des Iles Britaniques, son implantation dans le nord de la France date de la fin du XIXe siècle. En utilisant les canaux de navigation, son implantation vers l’ouest de l’Europe s’en est trouvée facilitée. Cette implantation rapide et son acclimatation démontrent la vitalité de cette espèce.
Ce poisson fréquente les fleuves et rivières de plaine dans leurs cours moyens. Il aime aussi remonter ceux-ci, parfois jusqu’au zones à truites. En effet le Hotu, s’il craint les eaux froides, n’en demeure pas moins trés sensible aux pollutions. Le Hotu recherche des courants assez forts et des fonds caillouteux. D’un comportement grégaire, le Hotu se déplace souvent en bancs de plusieurs dizaines d’individus de même taille. Plus jeune, il n’est pas rare de le voir se mélanger avec d’autres poissons tels que de jeunes barbeaux ou jeunes chvesnes. Petit à petit l’Hotu agrandira son territoire.
Le Hotu se nourrit en raclant les fonds. Ainsi il se nourrit de débrits végétaux ainsi que des micro-organismes qui leur sont associés. Il est aussi possible que ce poisson ne dédaigne pas quelques oeufs de poisson. Il se nourrit essentiellement le jour.
Le cycle de maturation sexuelle débute à l’automne et trouve son terme au printemps. La maturité sexuelle du Hotu est tardive puisqu’intervenant entre l’age de 4 à 7 ans. Une fois la ponte intervenue sur des fonds caillouteux, l’closion intervient 10 à 30 jours plus tard. Sa croissance est assez rapide les deux premières années et devient plus lente ensuite.
De nos jours, les populations sont en déclin dans une bonne partie de l’Europe. Ceci est dû aux pollutions et aussi à la raréfaction des zones de frayères provoquées par les activités de l’homme.
Il existe de nombreuses espèces d’Hotu à travers l’Europe (entre 17 et 25 selon les auteurs). Dans le quart sud-est de la France et au nord-est de l’Espagne, il n’est pas rare de rencontrer le Toxostome (Chondrostoma toxostoma) qui ressemble fort au Hotu. Son museau et la forme de sa bouche sont des signes distinctifs permettant de différencier ces 2 espèces. Le Toxostome est souevnt appelé aussi Souffie ou Souffe.
Le hotu se capture au moyen d’une canne avec ligne fine a plombée étalée. on le peche au ras du fond Il aime les Asticots, les morceaus de vers, les porte-bois
OMBRE commun

L’ombre commun : un poisson fantasque ou fantastique ?
S’il y a bien un dénominatif qui colle à la peau de ce poisson c’est bien celui de fantasque. Dans les articles halieutiques, il n’est pas un auteur qui n’emploie ce terme à son sujet. Dans les dictionnaires, on en trouve la définition suivante : « qui est sujet à des fantaisies, des sautes d’humeur ; dont on ne peut prévoir le comportement. Voir bizarre, capricieux, changeant, lunatique, original. » Or pour moi, qui pêche régulièrement l’ombre depuis de nombreuses années, il est tout sauf fantasque.
Se méfier des apparences.
Ce poisson a un mode de vie différent de celui de la truite. Celle-ci beaucoup plus craintive, part ce cacher à la moindre alerte. Parfois piscivore, généralement dotée d’un taux de croissance plus faible, elle passe moins de temps à s’alimenter d’insectes. Le système de défense de la truite sur bien des rivières est basé sur la fuite, la vie nocturne ou la prise en surface d’insectes de très petite taille (truites gobant des minuscules chironomes à longueur de journée sur les lisses des rivières pyrénéennes).
L’ombre et sa petite bouche
L’ombre est presque exclusivement insectivore en France. Il ne se cache pas sous les berges et vit à longueur de journée sur les gravières dégagées. C’est un goulu qui se nourrit la plupart du temps. Il n’est pas rare qu’un ombre consomme plusieurs centaines d’insectes dans une seule journée. Cela le rend particulièrement vulnérable à la pression de pêche mais cela en fait un partenaire de choix pour le pêcheur à la mouche.
Dans les pays scandinaves où les populations d’ombres sont abondantes et peu pêchées, ces poissons sont facilement capturables à la mouche. Mais sur les parcours français, qui reçoivent une pression de pêche importante en raison de l’engouement pour la pêche de ce poisson, il a du s’adapter faute de quoi, il aurait disparu. Du coup, à force d’être pêché, remis à l’eau, décroché, il devient parfois difficile à leurrer au point de rendre son comportement incompréhensible au premier abord.
Sur les gravières de la Dordogne, de la Vienne, de la Loue, de l’Ain ou du Doubs, il se passe en effet rarement une journée où les niveaux sont bons sans qu’un pêcheur ne lance ses mouches au devant d’un ombre gobeur. Si l’imitation est ressemblante et bien présentée, le poisson sera pris au premier passage. En revanche, si la mouche drague, le poisson monte court ou fait un refus au dernier moment. L’ombre contrairement à la truite qui se serait callée, va continuer à s’alimenter à quelques mètres du pêcheur. Mais il a eu le temps de photographier la mouche. Si bien qu’il ne remontera que rarement dessus. De plus, il sait dorénavant qu’il est pêché ce qui le rend plus méfiant. Les gobages se poursuivent toutefois sur les insectes naturels mais le poisson ne monte pas sur cette mouche qu’il a déjà vue. Devant cette situation, le pêcheur change d’imitation mais rarement de dérive. Si bien que la nouvelle mouche a des chances de mal dériver aussi. Le poisson la voit, monte court et la photographie. Le pêcheur y passe sa boite et fini par remettre en doute ses capacités jusqu’à ce qu’il mette cette petite imitation rose ignorée depuis deux saisons au bout de son bas de ligne. Un posé un peu plus détendu, la mouche flotte plus bas, l’ombre se laisse prendre. Vous voyez bien, je vous l’avait dit, l’ombre est un poisson fantasque. Il a pris sur du rose.
Persuadé d’avoir trouvé la mouche miracle, notre pêcheur la lance vers les autres poissons du banc avec un succès mitigé. Puis, loin de les avoir tous pris, il ne fait plus rien monter sur sa mouche rose. Bizarre… Plus bas sur la gravière d’autres pêcheurs ont pris des ombres avec tout un tas de mouches différentes. Eux aussi sont persuadés d’avoir la bonne. Au total, certaines journées, tout le monde aura pris des poissons qui mangeaient les mêmes insectes avec autant de mouches différentes qu’il y avait de pêcheurs. Vu sous cet angle, une première analyse superficielle suffit à qualifier ce comportement de fantasque.
Un comportement défensif logique et fantastique.
Mais pris individuellement, chaque poisson réagit à une logique stéréotypée pour déjouer les pièges des pêcheurs. Tant qu’il ne sait pas qu’il est pêché, il est peu méfiant à l’égard des mouches qui lui sont présentées. Si bien qu’il est possible lors d’une première dérive d’en prendre avec de grosses mouches qui flottent haut pour peu qu’elles ressemblent à un insecte habituellement présent dans l’environnement immédiat des poissons.
Toutefois, les choses changent rapidement lorsque le poisson a été pêché plusieurs fois. Il suffit qu’il ait détecté un draguage ou un modèle grossier pour que sa vigilance monte d’un cran. Ensuite, même s’il continue de gober les insectes naturels, il va devenir intransigeant sur la présentation tout en restant tolérant sur les modèles de mouches qui déclenchent habituellement des montées. Si bien que lorsque vous avez raté un ombre sur un modèle, il est rare qu’il remonte dessus. Le lui représenter immédiatement ne servirait qu’à lui confirmer votre présence. Il faut alors lui présenter un nouveau modèle de mouche évoquant si possible la proie du moment mais différent du précédent.
C’est là que monter ses propres mouches devient un avantage évident. Il est alors possible de confectionner des variantes qui s’avèrent bien utiles après les refus. Mais à chaque erreur, vous éduquez le poisson. Si bien qu’au bout d’un moment, la confrontation consiste à bien présenter au poisson des modèles originaux qu’il n’a jamais vu.
Dans le temps, au fil des jours, cela se résume à une course poursuite entre la capacité du poisson à photographier des modèles « dangereux » et la capacité du pêcheur à inventer de nouveaux modèles. Le combat tourne souvent à l’avantage du poisson qui en plus au fil du temps apprend à recracher au plus vite les mouches. Donc même si on a mis au point une artificielle séduisante qui sera prise en bouche par le poisson, il faut ferrer très vite sinon le poisson l’aura recraché (et mise en mémoire) réduisant à néant tous les efforts d’imagination.
Pauvre pêcheur me direz vous. La mémoire de l’ombre a toutefois des faiblesses. Une longue période de non pêche le rend moins regardant vis-à-vis des mouches. Il y a donc des moments fastes lors des périodes d’ouverture de la pêche, les premiers jours après une période de hauts niveau ou lors de grosses éclosions au cours desquelles les gros ombres regardent vers la surface. Le temps passant, les ombres oublient aussi les modèles qui leur ont causé des soucis. De plus, certains modèles sont tellement appétissants qu’ils font toujours de l’effet même aux poissons les plus éduqués.
Malgré tout, quelques jours de pêche intensive suffisent en général pour que les poissons s’éduquent au point de devenir difficilement prenables. Ce sont alors d’incessants changements de mouches qui vous attendent avec des montées courtes, des refus et heureusement quelques prises.
Mais n’est-ce pas là la beauté de cette pêche. Tenter de leurrer des partenaires dont le degré de vigilance varie en fonction de la pression de pêche, tenter de prendre de cours leur « catalogue de mouches » en inventant sans arrêt de nouveaux modèles ? Les remettre à l’eau avec le plus grand soin pour voir si le lendemain, ils se souviendront du modèle avec lequel on les a capturé la veille ?
Relâchez vos rêves
Alors, l’ombre, un poisson « bizarre, capricieux, changeant, lunatique, original » ? Non, il s’agit surtout d’un poisson qui a mis en place un mode de défense vis à vis des pêcheurs basé sur le repérage des dérives suspectes (draguages, bas de ligne visible…) et des imitations qui lui sont proposées. Un ombre qui mange des insectes n’est qu’un poisson vulnérable qu’il est tout à fait possible de leurrer avec une mouche artificielle qui imite cet insecte si elle est bien présentée. Et c’est ce qui se passe le plus souvent. Mais de rencontre malchanceuses avec des hameçons à l’apprentissage des leurres qui passent souvent en draguant au dessus de lui, ce poisson à appris à mémoriser très rapidement différentes situations et modèles de mouches dangereux . Il en devient alors parfois assez difficile à prendre. La course poursuite avec lui pour la création de modèles originaux est alors en marche. C’est ce qui fait le charme de la pêche de l’ombre, ce qui nous fait rêver. C’est à ce titre que ce poisson est fantastique dans le sens noble du terme car il fait appel à notre imagination.Alors pour que le rêve dure encore longtemps, relâchez vos rêves.
L’ anguille

L’ anguille, carnassier nocturne, est certainement l’ hôte-poisson le plus représentatif du Marais; ayant vraisemblablement figuré aux menus de nos plus lointains ancêtres, elle tendrait toutefois de nos jours à se raréfier…
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L’ anguille fait partie des poissons migrateurs et présente un cycle de vie bien particulier:
elle naît au niveau de la Mer des Sargasses au nord des Antilles, endroit où l’ on a capturé ses larves les plus petites: des préleptocéphales mesurant de 5 à 7 mm;les larves se dissémineront alors au gré des courants et ne survivront que celles qui emprunteront le Gulf Stream traversant l’ Atlantique en direction de l’ Europe: grandissant lors de ce périple, devenant des leptocéphales, elles mesureront à peu près 50mm en vue de nos côtes.
Dans cette portion de mer côtière, elles se métamorphoseront en civelles, alevin transparent de 6 à 7 cm et chercheront à coloniser les eaux saumâtres des estuaires et rivières pour remonter le cours de ces eaux douces et s’ y développer.
A ce stade de civelle, l’ alevin peut nager et se déplacer: le poisson cherche donc à gagner le cours des eaux douces; arrivé à destination il grandit en prenant son apparence foncée au ventre jaune: c’ est la période de l’ anguille jaune ;
le Marais lui offre une place de choix, avec sa multitude de canaux, ses zones sauvages, et une végétation aquatique lui permettant de se cacher: cette toute petite anguille mesurant une quinzaine de cm a été capturée lors du dégagement d’ une conche de son fouillis de plantes, et bien sûr relachée…
La croissance dure de 12 à 15 ans, le poisson atteignant alors sa taille d’ adulte: jusqu’ à 1m pour les femelles, et 50cm pour les mâles;
arrivé en ses dernières années, le ventre du poisson prendra une coloration argentée: ce sera le stade de l’ anguille argentée:
arrivant en âge de reproduction, elle subira alors une série de transformations biologiques, qui l’ inciteront à redescendre les cours d’ eau en direction de l’ océan:
se laissant porter par les courants, l’ anguille reprendra sa longue traversée maritime la ramenant sur les lieux de sa naissance: la mer des Sargasses pour y boucler son cycle de vie, s’ y reproduire et y mourir…
L’ homme a toujours eu besoin de se nourrir: que ce soit par nécessité ou par gourmandise, l’ anguille représente un mets de choix.
pêche à la fourche: méthode ancienne, se pratiquant plutôt le jour: à l’ aide de cet outil, l’ on piquait à l’ aveugle le fond de la vase, cette méthode est actuellement interdite.
pêche au fagot: un fagot de bois était déposé au fond de l’ eau: les anguilles s’ y réfugiaient naturellement sans appâts.
pêche à la vermée: technique de pêche maraîchine encore très largement pratiquée: l’ on enfile des vers en collier sur un long fil pour former une véritable pelote « de vers », il n’ y a pas d’ hameçon: quand le pêcheur lève sa ligne, l’ anguille qui a mordu à l’ appât peut se décrocher à tout instant… penser à placer au-dessous un objet les recevant, parapluie ou autres.
pêche à la bosselle: absolument typique du Marais
cette bosselle tressée en osier, est très astucieusement fabriquée: l’ entrée à droite permet à l’ anguille de se faufiler vers sa proie d’ abord dans le premier sas puis dans le second: il lui est absolument impossible de faire machine arrière et de s’ enfuir;
le bouchon à gauche fermant l’ engin est en général percé de petits trous: leur calibre permet alors aux petites anguilles que le pêcheur ne souhaite pas garder, de recouvrer la liberté.
Les poissons migrateurs dont l’ anguille, passent donc une partie de leur existence en mer, et une autre en eau douce: il faut bien qu’ ils puissent remonter et descendre les cours d’ eau, mais les barrages établis leur sont des obstacles quasi infranchissables…
L’ on a donc réfléchi et installé des passes à poissons sur les barrages qui, sans entraver le fonctionnement hydraulique de ces installations, permettent aux migrateurs de les franchir.
En ce qui concerne les anguilles, et particulièrement ces minuscules civelles qui ne sautent pas, les passes sont constituées d’ une rampe humide garnie d’ une sorte de tapis-brosse leur permettant de se faufiler entre les poils et de remonter.
Déjà 19 barrages dans le Marais sont équipés de 24 passes à civelles, et cela continue.
Une seconde raison et pas des moindres qui contribue fortement à la raréfaction de l’ espèce: c’ est la pêche intensive et particulièrement des civelles pratiquée dans les estuaires:
malheureusement ces petits alevins très appréciés sur le plan gustatif dans certains pays ont une valeur marchande considérable: ce sont des centaines et des centaines de tonnes qui sont prélevées à un stade condamnant toute reproduction…
Espérons que raison et efforts entrepris et il le faudrait à l’ échelle européenne, contribueront à protéger l’ espèce…
Amour blanc

l’amour blanc : Ctenopharyngodon idella (Valenciennes, 1844) – Cyprinidés
Les dessous noirs de l’amour blanc (INRA)
Autres appellations
carpe herbivore, carpe chinoise. Autres carpes
Noms étrangers
anglais = grass carp qui signifie carpe herbivore
Description
Dimensions
Entre 30 et 40cm, peut atteindre 1,30m. Poids jusqu’à 40kg.
Morphologie
Habitat
On le trouve principalement en étang privé.
Origine et distribution
Originaire du bassin du fleuve Amur et présents dans de nombreux pays d’Asie, puis dans la majorité des pays d’Europe de l’Est, il est arrivé en France d’abord par l’Est du pays et est présent maintenant dans toutes les régions.
De plus en plus présent maintenant en France en eaux closes, notamment pour éviter l’envahissement des étangs par les plantes aquatiques.
Comportement
Reproduction
Pisciculture
Pêche
L’amour ne se nourrit que d’herbes, on peut préparer un coup avec des granulés à lapin et pêcher au maïs et aux petits pois. Toutes les graines lui conviennent : arachide, féverole, lupin, maïs, pois chiche, noix tigrée (tiger nut).
Le matériel (canne, moulinet, rod-pod) et les montages sont ceux utilisés pour la pêche de la carpe. Mais les montages décollés avec bouillettes flottantes sont préférables car l’amour se nourrit entre 2 eaux. Prévoir des bas de ligne de plus de 30 cm.
C’est un poisson très combatif difficile à mettre à l’épuisette car sa défense des derniers instants est violente, par contre c’est un poisson très fragile à remettre rapidement à l’eau.
Contribution
L’amour se pêche à la graine, à la bouillette flottante ou avec une esche végétale (morceau de légume vert, algue, cœur de salade, etc.).
Très impressionnant dans ses « rush » de dernière minute quand il approche du bord et de l’épuisette. Se bat jusqu’à l’épuisement. A manier avec précaution et relâcher rapidement avec oxygénation car poisson fragile, très nerveux et hémophile. L’amour blanc peut atteindre des tailles et des poids très impressionnants, jusqu’à 1m50 de long pour 45 kg…
Au Japon et en Inde il existe des amours de grandes tailles.
Au Japon, ce n’est pas le poids qui compte, mais la longueur du poisson.